Date d'inscription : 12/09/2015 Messages : 236 Points : 1 Avatar : stephen amell. Pseudo/prénom : óranmór. Crédits : (c) tearsflight + (c) little wolf.
| Posté le Sam 12 Sep 2015 - 17:59 | JONLEAVY "JON" FRASER smoother than a fresh jar of skippy. si j'étais ... | | un style de musique éclectique. | de la nourritureitalienne. | Où avez-vous grandi et comment vous êtes vous retrouvé à Fairfax et DC ? J'ai grandi dans les Îles Fidji, avec ma mère et mon géniteur. Une vague en entraînant une autre, je me suis retrouvé, adolescent, à Londres pour finir à Los Angeles. La Cité des Anges étant devenu mon enfer, j'ai pu obtenir une mutation pour travailler en tant que médecin légiste à Washington DC. Préférant être loin du tumulte à la fin de la journée, j'ai choisi de poser mes cartons à Fairfax. Vous y sentez vous bien ? Qu'est-ce qui vous plait à Fairfax / DC ? Qu'est-ce qui vous déplaît ? L'avantage de travailler dans la capitale est qu'on ne s'ennuie jamais. Je n'ai jamais autant réduit ma consommation d'alcool, ce qui n'est pas forcément bon signe pour mon cerveau. Je ne vois pas grand monde mais cela permet d'éviter des désastres sociaux, alors ce n'est pas plus mal. Fairfax permet de faire une coupure avec sa tranquillité, peut-être même un peu trop tranquille mais parfois c'est assez plaisant. Ce qui me déplaît en revanche, que ce soit à Fairfax ou à Washington, c'est le climat. J'ai l'impression de devenir un glaçon à chaque fois que je mets le nez dehors. Du coup, je sors avec Jack et Daniels, ils savent comment réchauffer les âmes esseulées. Si vous pouviez habiter ailleurs, où serait-ce ? les Îles Fidji me manquent, la chaleur du sable, le vent doux et les vagues de rêve. Ce sont des souvenirs heureux malgré tout et il me tarde de pouvoir y retourner, ne serait-ce que pour des vacances bien méritées. Que pensez-vous de la ville adverse ? Il n'y a pas d'adversité à avoir, toutes deux ont leurs charmes et leurs défauts. L'une apporte la quiétude, l'autre toute la vitalité nécessaire. Je dirais qu'elles sont complémentaires car l'une a besoin de l'autre pour être appréciée à sa juste valeur. Je dois reconnaître que cette adversité m'échappe complètement. Comme beaucoup de choses à vrai dire. Ah la médecine légale me paraît tellement moins compliquée. nom : Fraser, un nom écossais. Des Highlands, dirait-on. Oui les kilts, le froid et le whisky, ça fait rêver. prénoms : Jonleavy. Sans commentaire. Jon ou Lee suffiront, il déteste entendre son prénom en entier, il fait écho à des souvenirs douloureux par leur violence. Son deuxième prénom est Rafferty, ou Rafe mais certainement pas Raffy. Enfin, la trinité prend forme grâce à Harrison, son dernier prénom, qui était celui de son grand-père maternel. date et lieu de naissance : un premier mai, en 1986, à Lautoka, dans les Îles Fidji. âge : trente ans. Le cap fatidique est franchi. nationalités : britannique et américaine. origines : écossaise, française et irlandaise. statut civil : célibatairement libre, il voit la femme comme un bourreau qui l'attend à la potence dans le but de lui passer la corde autour du cou. Sauf que c'est une bague. statut social : les bouts se joignent, il se fait aisément plaisir. Rien ne lui manque à vrai dire, il est bien comme il est. professions : coroner/médecin légiste. Les morts sont plus bavards que les vivants et, en plus, plus rien ne peut les offenser enfin, pas ses maladresses du moins. Il écume les bars en fin de service. études et année : études de médecine légale et criminologie terminées, en mineur il était en anthropologie à l'université de Columbia. ville et quartier de résidence : bien qu'il travaille à Washington, il vit à Fairfax, dans le centre-ville (Old Town). Ain't nothing wrong with that(+) faussement hautain, altruiste, romantique (il a du mal et n'assume plus du tout ce côté là), intrépide, fidèle, fier, entier, tendre, intelligent, cultivé, autodidacte, surdoué, complètement déphasé avec un sens de la répartie décalé ce qui peut le rendre ridicule mais drôle. (-) instable voire lunatique, dépendant, blessé et parfois blessant, cinglant voire cynique, pessimiste, sceptique, distant, indécis, peu confiant en lui voire pas du tout, a tendance à trop réfléchir, hypersensible, complètement coincé quand il s'agit d'exprimer ses propres sentiments, adepte de la politique de l'autruche plongée dans une cage thoracique.
(+) il est né à Lautoka, dans les Îles Fidji, et tient ses origines d'une mère écossaise et irlandaise et d'un père absent français. (+) son prénom, assez ancien, est très écourté pour se transformer en Jon ou Lee, car il déteste qu'on l'appelle par son prénom entier, il a l'impression d'être un cow-boy du Far West.. (+) ayant grandi dans les Îles Fidji, il a appris très tôt à surfer et s'est plusieurs fois retrouvé la tête à l'envers, se blessant à chaque fois. Il s'est fait mordre par un bébé requin, qui lui a laissé une belle marque sur son tibia quand il avait dix ans. Au delà de cette mésaventure en mer, il grimpait aux palmiers, en tombant souvent la tête la première, il en garde le souvenir sur le front, au début du cuir chevelu. Il a aussi une marque sur la joue droite, qui prend la forme d'une fossette mais il ignore si c'est de naissance ou pas. (+) surdoué, il a quatre ans d'avance sur les gens de son âge, ce qui explique sa rapide ascension aussi bien à la faculté de médecine de Columbia que son intégration dans la police de Washington. (+) il a aussi étudié à Berkeley (Californie) (+) la Cité des Anges lui correspondait parfaitement, jusqu'à ce que sa fiancée s'en aille avec un autre, avec qui elle était déjà depuis longtemps, alors que sa mère venait de décéder. (+) suite à cette soirée minable, il s'est fait renverser par une voiture et a été dans le coma pendant huit mois. A son réveil, il a alors plongé dans l'alcool et l'abus d'antalgiques, c'est ce qui lui permet de ne pas trop penser et de pouvoir au moins dormir le minimum syndical. (+) il a eu des séquelles assez grave et aurait pu finir dans un fauteuil roulant. Il garde une marque qui part du haut du dos et s'arrête jusqu'au bas ventre, en passant sur son flanc, ainsi que d'autres cicatrices diverses sur son torse et le haut de ses jambes. (+) il n'avait jamais eu d'antécédents de dépendance auparavant mais il ne peut vraiment plus se passer de la tranquillité de Fairfax (+) il a toujours dans son portefeuille une photo de son ex-fiancée et lui, bien qu'elle soit déchirée, à cause de son accident. Il y conserve aussi des photos des paysages fidjiens, qu'il ne regarde que très rarement, lorsque c'est nécessaire et que sa mère lui manque. (+) il est polyglotte et mélomane, parlant huit langues et d'autres divers dialectes locaux qu'il baragouine et joue de la basse, guitare, batterie, piano et saxophone. (+) son corps, au delà d'être marqué de cicatrices involontaires, est parsemé de tatouages tous représentant une étape importante de sa vie : sa première attaque de requin (bébé requin), la date de la perte de sa mère, un tatouage tribal sur le biceps gauche et une phrase de Shakespeare sur l'épaule droite : "We are such stuff as dreams are made on, and our little life is rounded with a sleep". (+) il ne se souvient que très peu de son père et le qualifie de géniteur, il sait seulement qu'il l'appelait par son prénom entier. Et, en réalité, la fossette qu'il a sur sa joue est une marque venant de sa main. Un homme violent en somme. Désormais, il espère ne pas lui ressembler au niveau du caractère et c'est ce qui lui importe car sa vraie peur, ce serait d'être comme lui. (+) c'est un expert en arts martiaux, mais il ne s'en vante pas et ne le montre pas. (+) il mesure un peu moins de deux mètres et pèse environ cent kilos, c'est un gros bébé. (+) sa bague de fiançailles n'a jamais quitté son doigt, il la regarde inlassablement dans ses moments de passage à vide, non pas parce que son ex-fiancée lui manque mais seulement pour ne pas oublier que l'amour existe et qu'il n'est pas encore prêt pour ça. (+) grand gourmand, c'est un amateur de bonne cuisine, qu'importe le pays, il aime ce qui est bon et passe son temps à cuisiner dès qu'il en a le temps (c'est-à-dire rarement) (+) sa mutation à la police de Washington est vécue comme une vraie opportunité et un vrai challenge pour lui, il fait ce qu'il aime : aider les gens à sa manière en rendant la vue à la justice sur les crimes commis.
« Attends ! Attends, t'as un de mes bouquins mon coeur. » La jolie blonde se retourna, avec un sourire radieux avant de lever les yeux au ciel. « Qu'est-ce qu'on va faire de toi Jon ? Un esprit brillant mais maladroit, t'as tout pour plaire décidément. » Un large sourire béat se dessina sur ses lèvres, alors qu'elle lui tendait le livre. Il posa sa main dessus, en lui empêchant de le lui rendre. « Ouvre-le. » Il serra la main de sa blonde avec plus de force et d’amour encore. Il était prêt, c’était leur moment. Son cœur, son âme, tout son être étaient prêts à cette union entre eux. Tout avait été rapide, ce fut un coup de foudre, une complicité sans nom, de jour comme de nuit. C’était ainsi, c’était l’amour, du moins il en avait l'impression. « Je sais qu'on est jeunes et que c'est probablement très maladroit mais je t'aime, je n'ai jamais su ce que c'était avant toi et il n'y a que toi que je veux. Pour une fois, j'ai envie de laisser mon coeur faire et de taire mon cerveau. Je ne te le dis pas assez mais je veux t'avoir dans ma vie, j'ai besoin de toi comme j'ai jamais eu besoin de personne. Est-ce que tu voudrais de mon cerveau brillant et qu'on se fiance ? » La jeune femme, bouche bée, ne sut pas quoi répondre, alors elle se contenta de le relever. Elle entremêla ses doigts dans les siens avant de se blottir dans ses bras et de lever la tête vers lui, elle se contenta de l'embrasser, comme elle ne l'avais jamais embrassé auparavant. « Oui. » Souffla t-elle, alors qu'il lui glissa cette bague à son annulaire gauche.
Assis sur la chaise, les bras sur la table, je joue avec mon alliance, me remémorant ces quelques instants. Ou devrais-je dire cette bague. La femme que j’aimais tournait dans l'appartement, faisant ses affaires en vitesse, entre deux sanglots. Je ne la regardais plus, tout était fini. Les regards, les sourires, les rires, l’amour. Tout n’était que passé et souvenirs, encore trop douloureux pour être énoncés à voix haute. Jouant inlassablement avec cette bague à mon annulaire, les bruits de fracas me semblent lointains et pourtant si imminents. « Mais réagis ! Sois un homme, t’es plus qu’un fantôme maintenant ! » Je relevais la tête, haussant les épaules. Cela faisait quatre mois que j'avais découvert la vérité, je n'avais plus le coeur à lui parler. Je pensais pouvoir être assez fort pour lui pardonner, mais mon coeur était devenu muet, tout n'était que sécheresse et amertume. « J’ai oublié d’aller chercher ton bracelet, je suis désolé. J'irais demain. » Elle posa ses mains sur ses hanches, alors que je me levais pour aller dans notre ancienne chambre. « Jon, regarde-moi. Je pars, c’est fini. J’ai mis ta bague sur la table, il faut qu’on tourne la page, ça peut plus durer comme ça. Est-ce que tu réalises au moins que c'est fini ? Je, laisse. Tu as tout gâché. » Depuis quelques temps, je n'étais plus que l'ombre de moi-même, j'avais du mal à accepter la mort de ma mère, et je n'avais pas eu le temps de m'y concentrer pour devoir lutter contre.. ça. La porte claque, mon cœur se serre. Un homme l’aide à charger les derniers cartons dans une voiture que je ne connais pas. Après tout, depuis quatre mois, on ne se voyait plus. J’avais essayé, cela n’avait pas pris. Tant pis, la vie continue. Je finis par sortir de l'appartement, bouteille de whisky sur les marches. Il ne faisait chaud encore, à Los Angeles, même pour un mois de septembre. J'ai l'impression de voir quelque chose sur la route, un ballon ou un enfant. Ma vision était brouillée, je décidais d'avancer tout de même, enfin, je ne décidais plus de rien. Baissé, mes yeux me brûlent, une lumière aveuglante arrive, avec un bruit fracassant à mes oreilles. La douleur est indicible et puis, elle m'emporte. Tout'est le noir, tout est calme. J'étais partie pour huit mois de coma. (2012) PSEUDO / PRÉNOM : óranmór. AGE : vingt-et-un ans RÉGION : Irlande PERSONNAGE : inventé. AVATAR : stephen amell. OU AVEZ VOUS TROUVÉ LE FORUM ? bazzart PETIT MOT : merci pour votre accueil, ça fait plaisir - Code:
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≈ <pris>STEPHEN AMELL</pris> est joué par <i><a href="http://yourfamousneighbor.forumactif.org/u61" target="_blank">jon fraser</a></i> |
Dernière édition par Jon Fraser le Dim 25 Oct 2015 - 20:58, édité 5 fois |